Travailler en groupe nécessite de surmonter, en permanence, des difficultés relatives aux relations humaines, aux prises de décision, au respect des engagements, des délais, des coûts, de la qualité…
Au-delà des règles connues du management participatif, du management par objectifs et autres concepts développés par les consultants américains, une nouvelle posture managériale émerge : le management bienveillant.
Etre bienveillant, c’est illustrer l’étymologie du mot («vouloir le bien»), c’est chercher ce qu’il y a de positif chez l’autre ou dans la situation présente. C’est se transformer en «orpailleur intellectuel»…
Etre bienveillant, c’est ne pas voir systématiquement le mal dans l’action de l’autre et considérer qu’une erreur est rattrapable si on accorde les moyens pour grandir. C’est freiner la «machine à juger».